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aoc:congres-liber-24062015

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aoc:congres-liber-24062015 [2016/02/17 18:12]
Adeline Rege
aoc:congres-liber-24062015 [2016/03/02 18:16] (Version actuelle)
Adeline Rege
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 ==== Research Data Management : the researcher’s perspective ==== ==== Research Data Management : the researcher’s perspective ====
    
-(cf blog [[rdminsight.wordpress.com/​]])+[[https://rdminsight.wordpress.com/​]]
  
 Argument pour convaincre les chercheurs de faire du RDM : l’argument de la //​compliance//​ envers les exigences des financeurs peut être problématique (peut être vu comme une menace). Arguments à utiliser : faire gagner du temps, apporter un soutien personnalisé Argument pour convaincre les chercheurs de faire du RDM : l’argument de la //​compliance//​ envers les exigences des financeurs peut être problématique (peut être vu comme une menace). Arguments à utiliser : faire gagner du temps, apporter un soutien personnalisé
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 Strates de données de la recherche : restricted data, published data, shared data and reused data, open access data Strates de données de la recherche : restricted data, published data, shared data and reused data, open access data
  
-Workflow : les producteurs de données sont responsables de la qualité des données : ils les produisent et les déposent dans les entrepôts. Puis, repository management : préserver ​les métadonnées et l’accès (mais pas responsable ​de la qualité des données). Puis Réutilisation ​des données.  ​+Workflow : les producteurs de données sont responsables de la qualité des données : ils les produisent et les déposent dans les entrepôts. Puis, les gestionnaires de l'​entrepôt préservent ​les métadonnées et l’accès (mais ne sont pas responsables ​de la qualité des données). Puis, réutilisation ​des données.  ​
  
 ☞Garantir la //​compliance//​ éthique et juridique est crucial\\ ☞Garantir la //​compliance//​ éthique et juridique est crucial\\
-☞Partenaires qui doivent travailler ensemble : bibliothécaires,​ informaticiens,​ chercheurs, financeurs des projets de recherche ​=> le DMP fait le lien entre les différents partenaires\\+☞Partenaires qui doivent travailler ensemble : bibliothécaires,​ informaticiens,​ chercheurs, financeurs des projets de recherche ​⇒ le DMP fait le lien entre les différents partenaires\\
 ☞Partage des rôles et des responsabilités\\ ☞Partage des rôles et des responsabilités\\
-Projet en Autriche de DMP au niveau national. DMP concentré sur H2020. Se base sur la checklist du DCC, version 4, mais personnalisée pour l’aligner sur les situations locales et les services et infrastructures locaux. Le pilote a été lancé avec 7 composantes de l’Université de Vienne. Le pilote devrait être étendu à d’autres institutions en Autriche à partir de septembre. Le DMP est un logiciel en ligne (DMPonline), ​ avec plusieurs thèmes (réutilisation,​ archivage pérenne…). Le DMP est le même pour toutes les disciplines. ​ 
  
-Premières conclusions du pilote : les questions d’archivage impliquent plus de personnes et de services que prévu ; le DMP demande une adaptation constante ; beaucoup de questions ​sur la sécurité des donnéesle stockage, les modèles ​de métadonnées+Projet en Autriche ​de DMP au niveau national. DMP concentré sur H2020. Se base sur la checklist du DCCversion 4mais personnalisée pour l’aligner sur les situations locales et les services et infrastructures locaux. Le pilote a été lancé avec 7 composantes ​de l’Université de Vienne. Le pilote devrait être étendu à d’autres institutions en Autriche à partir de septembre. Le DMP est un logiciel en ligne (DMPonline),​ avec plusieurs thèmes (réutilisation,​ archivage pérenne). Le DMP est le même pour toutes les disciplines. ​
  
-Défis ​: adapter le DMP à des projets en dehors de H2020, administration des DMP par qui ? qui évalue le DMP ?+Premières conclusions du pilote ​:\\ 
 +  * les questions d’archivage impliquent plus de personnes et de services que prévu\\ 
 +  * le DMP demande une adaptation constante\\ 
 +  * beaucoup de questions sur la sécurité des données, le stockage, les modèles de métadonnées… 
 + 
 +<note important>​adapter le DMP à des projets en dehors de H2020, administration des DMP par qui ? qui évalue le DMP ?</​note>​
    
-- Translating RDM policy into RDM support (Radboud University, NL) +==== Translating RDM policy into RDM support (Radboud University, NL) ==== 
-RDM policy ​(fin 2013) : storage of data and MD, au plus tard au moment de la publication. Stockage au moins pour 20 ans. Recommandation de faire un DMP. L’université offre des services en soutien. Pas encore d’entrepôt pour les données : utilisation du CRIS. Mais la policy ​n’est pas vraiment appliquée=> même si la policy ​est définie de manière centrale, le relais doit être pris au niveau décentralisé pour son application.  + 
-Question : est-ce à la BU de définir la politique ou n’est-elle qu’un service support ?  +POlitique de l'​université sur les données ​(fin 2013) : dépôt des données et des métadonnées ​au plus tard au moment de la publication. Stockage au moins pour 20 ans. Recommandation de faire un DMP. L’université offre des services en soutien. Pas encore d’entrepôt pour les données : utilisation du CRIS. Mais la politique ​n’est pas vraiment appliquée⇒ même si la politique ​est définie de manière centrale, le relais doit être pris au niveau décentralisé pour son application.  
-Définir une politique institutionnelle ne répond pas aux questions pratiques des chercheurs ​=> soutien sur mesure. Pour faire ça, la BU a travaillé à une checklist avec les labos avec questions auxquelles les labos doivent répondre telles que : un DMP doit-il être élaboré avant la collecte des données, si oui quels sont les prérequis de la part de l’institution ? Les coûts peuvent-ils être financés par les financeurs ? Pour chaque question, des tableaux, des arbres de décision, des fiches pratiques, etc. sont fournis. => travail décentralisé ​+ 
 +<​note>​est-ce à la BU de définir la politique ou n’est-elle qu’un service support ?</​note>​  
 + 
 +Définir une politique institutionnelle ne répond pas aux questions pratiques des chercheurs ​: les chercheurs ont besoin d'​un ​soutien sur mesure. Pour faire ça, la BU a travaillé à une checklist avec les labos avec les questions auxquelles les labos doivent répondre telles que : un DMP doit-il être élaboré avant la collecte des données ​? Si ouiquels sont les prérequis de la part de l’institution ? Les coûts peuvent-ils être financés par les financeurs ​de la recherche ​? Pour chaque question, des tableaux, des arbres de décision, des fiches pratiques, etc. sont fournis⇒ travail décentralisé ​ 
 Points forts de la BU : service stable et pérenne, point de contact entre les différents partenaires impliqués, connait les chercheurs et leurs besoins. ​ Points forts de la BU : service stable et pérenne, point de contact entre les différents partenaires impliqués, connait les chercheurs et leurs besoins. ​
-- Translating policy into RDM services (Univ of Edinburgh) 
-RDM policy : mai 2011 ! initiative pilotée par la BU, avec la participation de « academic champions ». La policy n’est pas un mandat, mais insiste sur les services offerts. ​ 
-Partage des responsabilités entre l’université (gestion des données pendant le cycle de vie, fournit formation et souttien et conseils, services de stockage, d’archivage,​ de signalement,​ protège les intérêts des chercheurs) et les chercheurs ​ 
  
-Services pour appliquer la policy ​: stockage et sauvegarde (1/2 TB de stockage par chercheur, sauvegarde ​sur, outils de gestion et de partage (dropbox like  owncloud), entrepôt (DSpace + « dark archive » pour les données qui ne doivent pas être en OA)formation et conseilsmodèles de DMPbeaucoup de travail ​se sensibilisation par rencontre ​avec les labos +==== Translating policy into RDM services (Univ of Edinburgh) ==== 
-Tout est formalisé dans une feuille de route avec objectifs, livrables, actions… : doc vivant+ 
 +Politique de l'​université sur les données : mai 2011 ! Initiative pilotée par la BU, avec la participation de « academic champions ». La politique n’est pas un mandat, mais elle insiste sur les services offerts.  
 + 
 +Partage des responsabilités entre l’université (gestion des données pendant le cycle de vie, fournit formation et soutien et conseils, services de stockage, d’archivage,​ de signalement,​ protection des intérêts des chercheurs) et les chercheurs. 
 + 
 +Services pour appliquer la politique ​:\\  
 +  * stockage et sauvegarde (1/2 TB de stockage par chercheur, sauvegarde ​sûre, outils de gestion et de partage (dropbox like  owncloud), entrepôt (DSpace + « dark archive » pour les données qui ne doivent pas être en OA)\\   
 +  * formation et conseils\\ 
 +  * modèles de DMP\\ 
 +  * beaucoup de travail ​de sensibilisation par des rencontres ​avec les labos 
 + 
 +<note tip>Tout est formalisé dans une feuille de route avec objectifs, livrables, actions… : document ​vivant</​note>​
  
 Data Stewardship : curation, accès et conservation,​ métadonnées,​ DOI. Fait par la BU (catalogueurs,​ data librarians…) Data Stewardship : curation, accès et conservation,​ métadonnées,​ DOI. Fait par la BU (catalogueurs,​ data librarians…)
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 DMP : DMPonline personnalisé. Avant la collecte et la création des données. ​ DMP : DMPonline personnalisé. Avant la collecte et la création des données. ​
  
-Formation des bibs à la gestion des données.+Formation des bibliothécaires ​à la gestion des données.
  
-Travail en cours : faire travailler ensemble les différents services afin que les chercheurs aient une vision claire et cohérente et des interlocuteurs identifiés. ​+Travail en cours : faire travailler ensemble les différents services afin que les chercheurs aient une vision claire et cohérente ​des processus, ​et des interlocuteurs identifiés. ​
  
-- Atelier : RDM policies +==== Atelier : Politiques de gestion des données de la recherche ====
-Docs sur bit.ly/​1SASgiq+
  
 Lister les bénéfices pour le chercheur. Aligner et harmoniser les procédures et les processus (obtention de financements,​ appels à projet, DMP…) pour qu’il n’y ait pas de redondance. ​ Lister les bénéfices pour le chercheur. Aligner et harmoniser les procédures et les processus (obtention de financements,​ appels à projet, DMP…) pour qu’il n’y ait pas de redondance. ​
-En Finlande et DK : commencer par la mise en place des infrastructures et des services, puis passer à l’élaboration de la politique, afin que tout soit en place quand la politique devient effective. Faire attention aux questions juridiques et aux questions de propriété. Soutien aux chercheurs : face à face ; on mesure le succès au fait que le chercheur se souvient de vous et de la manière de vous contacter. ​ 
-Politique Uni Gö : très complète. Précise qu’il existe un coordinateur,​ mais qui est-il ? Si le coordinateur n’est pas à la BU, la BU doit le soutenir en apportant des infos… 
-Politique U Oxford : très générale => besoin d’infos complémentaires,​ pratiques ​ 
  
-- FOSTER :  +En Finlande et au Danemarkon a commencé par la mise en place des infrastructures ​et des services, puis on est passé à l’élaboration ​de la politique, afin que tout soit en place quand la politique devient effective
-Possibilité de récupérer matériel de formationd’information,​ de sensibilisation sur le portail FOSTER. Travail ​en cours : création de cours en ligne à partir de ce matériel => inscription aux cours sur le site. Possible de déposer ​des contenus ​et de proposer des cours+
  
-- Support researchers with DMP :  +Faire attention aux questions juridiques et aux questions de propriété.  
-DMP : cycle de vie des données ​=> permet de prendre des décisions en connaissance de cause ; permet au chercheur de savoir dès le début ce qu’il fera sur le long terme + 
-Descerription ​des données à collecter et à créer ; standard et méthodes ; partage et réutilisation… +Soutien aux chercheurs : privilégier le face à face. On mesure le succès au fait que le chercheur se souvient de vous et de la manière de vous contacter.  
-Soutien : templates, listes de questions et de thèmes, guides pour personnalisation des DMP liens vers contacts locaux…+ 
 +==== Support researchers with DMP : ==== 
 +  
 +DMP : cycle de vie des données ​⇒ permet de prendre des décisions en connaissance de cause ; permet au chercheur de savoir dès le début ce qu’il fera sur le long terme\\ 
 +Description ​des données à collecter et à créer ; standard et méthodes ; partage et réutilisation… 
 + 
 +Soutien ​à l'​utilisation des DMP fournir des templates, ​des listes de questions et de thèmes, ​des guides pour personnalisation des DMP, des liens vers des contacts locaux…
  
 DMPonline : aider les chercheurs à écrire leur DMP. Propose templates pour les différentes situations. Les templates peuvent être personnalisés par une institution. ​ DMPonline : aider les chercheurs à écrire leur DMP. Propose templates pour les différentes situations. Les templates peuvent être personnalisés par une institution. ​
  
-Le DCC met à disposition des guidelines pour évaluer les DMP. +Le DCC met à disposition des //guidelines// pour évaluer les DMP.  
 + 
 +==== La gestion des données de la recherche à l'​Université d'​Helsinki ==== 
 + 
 +Politique de l'​université sur les données : février 2015. 
 + 
 +Formation des équipes en interne avec un expert du Finnish Social Science Data Archive + travail en réseau avec les autres services de l’université (direction recherche, informatique…). 
 + 
 +Création d’une équipe RDM à la BU et organisation d'​ateliers pour cette équipe (thèmes des ateliers : comment simplifier la préparation des DMP et comment aller voir les chercheurs ? Comment améliorer son expertise par l’auto-foramtion ? comment s’organiser pour continuer après H2020 ? comment travailler en équipe ?).  
 + 
 +Equipe de 5 personnes, qui font du RDM à 20-50 % de leur ETP. La direction de la recherche a envoyé les chercheurs qui soumettaient un projet H2020 à la BU pour une évaluation de leur DMP. La BU utilise Libanswers comme help desk.  
 + 
 +Evaluation du DMP avec l’aide, si nécessaire,​ d’autres services de l’université (service juridique, informatique…) : l’équipe pose ensuite des questions aux chercheurs pour avoir des précisions,​ et propose des conseils aux chercheurs (exemple sur la sécurité des données : ne pas utiliser de disque dur externe pour les données sensibles) 
 + 
 +A venir :\\ 
 +  * améliorer les processus, pour s’assurer que tous les porteurs de projets seront évalués par la BU\\          
 +  * Améliorer les pas à pas pour les chercheurs (concepts de base, vocabulaires…)\\ 
 +  * Créer une équipe multiprofessionnelle : informatique,​ archiviste, bibliothécaires,​ juristes...\\ 
 +  * Impliquer tous les bibliothécaires « référents disciplinaires »
  
-- RDM Helsinki +===== Open Science (UE=====
-Research data policy février 2015 +
-Formation des équipes en interne avec un expert du Finnish Social ​Science ​Data Archive + travail en réseau avec les autres services de l’université ​(direction recherche, informatique…)création d’une équipe RDM à la BU et organsiationd ‘areliers pour cette équipe (comment simplifier la préparation des DMP et comment aller voir les chercheurs ? Comment améliorer son expertise par l’auto-froamtion ? comment s’organiser pour continuer après H2020 ? comment travailler en équipe ?). Equipe de 5 personnes, qui font du RDM à 20-50 % de leur ETP. La direction de la recherche a envoyé les chercheurs qui soumettaient un projet H2020 à la BU pour une évaluation de leur DMP. La BU utilise Libanswers comme help desk.  +
-Evaluation du DMP avec l’aide, si nécessaire,​ d’autres services de l’université (service juridique, informatiique…) : l’équipe pose ensuite questions aux chercheurs pour précisions,​ et propose des conseils aux chercheurs (ex : sur la sécurité des données : ne pas utiliser de disque dur externe pour les données sensibles) +
-A venir : améliorer les processus, pour s’assurer que tous les porteurs de projets seront évalués par la BU. Améliorer les pas à pas pour les chercheurs (concepts de base, vocabulaires…). Créer une équipe multiprofessionnelle : informatiques,​ archiviste, bis, juristes... Impliquer tous les bibliothécaires « référents disciplinaires ». +
  
-- Open Science (UE) 
 Consultation publique Science 2.0 Consultation publique Science 2.0
-Ce qu’il en sort :  
-*terme le plus approprié : open science 
-*principale barrière, du point de vue du chercheur, à open science : concerns about quality assurance ; lack of credit-giving to open science ; lack of integration in the existing infrastrucures ; limited awareness of benefits of open science for researchers ; lack of financial => faire en sorte que la gestion des données fasse partie du CV et des fiches de poste des chercheurs, et qu’ils soient récompensés pour ça. Que la gestion des données dsoit au même niveau que les publications. ​ 
-*action politique nécessaire : support big data (infrastructure) needs : includes governance ; improving framework conditions for fostering open science ; making science more efficient, reliable and more responsive to societal challenges => travailler bottom-up en impliquant tous les partenaires 
  
-Action de la commission ​:  +Ce qui en sort :\\  
-*29 mai 2015 états membres ont exprimé leur souhait de voir l’open science ​mise en œuvre +  terme le plus approprié ​: open science\\ 
-*priorités ​du nouveau commissaire ​: open science ​=supprimer les barrières ​et développer les incitations (TDMaltmetrics…),​ développer ​les infrastructures,​ développer liens open science/société ​ +  principale barrière, ​du point de vue du chercheur, à l'open science ​concerns about quality assurance ; lack of credit-giving to open science ​; lack of integration in the existing infrastrucures ; limited awareness of benefits of open science for researchers ; lack of financial support\\ 
-*calendrier ​jusqu’au printemps 2016concrétisation des actions par la rédaction de la Digital Single Market Strategy +<note important>faire en sorte que la gestion des données fasse partie du CV et des fiches de poste des chercheurset qu’ils soient récompensés pour ça. Que la gestion des données soit au même niveau que les publications.<​/note>​\\ ​ 
-*scienceintransition.eu+  action politique nécessaire ​improving framework conditions for fostering open science ; making science more efficientreliable and more responsive to societal challenges\\ 
 +<note tip>​travailler bottom-up en impliquant tous les partenaires</​note>​
  
-- Altmetrics : +===== Altmetrics : ===== 
 + 
 Evaluation de l’impact de la recherche : important pour les financeurs de la recherche. Comment démontrer que la recherche a contribué à des changements ?  Evaluation de l’impact de la recherche : important pour les financeurs de la recherche. Comment démontrer que la recherche a contribué à des changements ? 
 +
 Démontrer l’impact Démontrer l’impact
-Altmetrics : tracer les research outputs dans des sources non-traditionnelles (policy documents, news, blogs, réseaux sociaux…). Comprendre comment la recherche est reçue et comprise : complémentaire de la bibliométrie traditionnelle. Permet d’évaluer un iompact ​plus large que la bibliométrie traditionnelle,​ en dehors des cercles académiques : grand public, presse…+ 
 +Altmetrics : tracer les research outputs dans des sources non-traditionnelles (nouvelles, blogs, réseaux sociaux…). Comprendre comment la recherche est reçue et comprise : complémentaire de la bibliométrie traditionnelle. Permet d’évaluer un impact ​plus large que la bibliométrie traditionnelle,​ en dehors des cercles académiques : grand public, presse… 
 Permet de s’intéresser à autre chose que les articles. Permet de mettre en valeur de jeunes chercheurs, qui sont désavantagés par la bibliométrie traditionnelle. Permet d’avoir un feedback en temps réel. Permet d’avoir des indicateurs plus qualitatifs. ​ Permet de s’intéresser à autre chose que les articles. Permet de mettre en valeur de jeunes chercheurs, qui sont désavantagés par la bibliométrie traditionnelle. Permet d’avoir un feedback en temps réel. Permet d’avoir des indicateurs plus qualitatifs. ​
  
-Altmetrics pour les institutions :  +Altmetrics pour les institutions :\\  
-Création d’une ​BDD pour une institution. Permet d’encourager les chercheurs à déposer dans l’AO : altemetrics ​peuvent être intégrés à l’AO ou à un CRIS. Possible d’évaluer l’effet d’une mise en OA d’un article. 37% des Top 100 de 2014 étaient en OA. +Création d’une ​base de données ​pour une institution. Permet d’encourager les chercheurs à déposer dans l’AO : altmetrics ​peuvent être intégrés à l’AO ou à un CRIS. Possible d’évaluer l’effet d’une mise en OA d’un article. 37% des publications ​Top 100 de 2014 étaient en OA. 
  
-Implémentation à Univ of Manchester : +Implémentation à University ​of Manchester :\\ 
 Déjà un « citation services » à la BU : analyse bibliométrique traditionnelle avec SciVal, mais service limité Déjà un « citation services » à la BU : analyse bibliométrique traditionnelle avec SciVal, mais service limité
-Mais nécessité de démontrer impact plus large.  +et nécessité de démontrer impact plus large. ​\\ 
-Utilisation des stats d’usage de l’AO, mais insuffisant +Utilisation des statistiques ​d’usage de l’AO, mais insuffisant\\ 
-Avantage de l’application Altmetrics for institution : met les discussions sur un sujet de recherche en contexte (ex : contexte d’un tweet).  +Avantage de l’application Altmetrics for institution : met les discussions sur un sujet de recherche en contexte (ex : contexte d’un tweet).\\  
-La BU fournit des données à Altmetrics (API de l’AO). ​Organisation d’un test avec des chercheurs et des professionnels de l’université. ​ +La BU fournit des données à Altmetrics (API de l’AO).\\ 
-Permet aux bibs d’engager dialogue avec les chercheurs : le bib peut repérer une discussion sur twitter, contacter le chercheur concerné, lui parler d’OA… Permet à l’université d’identifier les chercheurs qui ont un fort impact sur la société. ​+Permet aux bibliothèques ​d’engager ​un dialogue avec les chercheurs : le bibliothécaire ​peut repérer une discussion sur twitter, contacter le chercheur concerné, lui parler d’OA… Permet à l’université d’identifier les chercheurs qui ont un fort impact sur la société.\\ 
 A l’avenir : partager l’outil avec d’autres services de l’université (University Press : choisir les ouvrages à publier...). Utilisation de l’application pour évaluer l’impact des articles en OA gold financés par l’université,​ pour évaluer l’impact des données de recherche déposées dans l’AO… A l’avenir : partager l’outil avec d’autres services de l’université (University Press : choisir les ouvrages à publier...). Utilisation de l’application pour évaluer l’impact des articles en OA gold financés par l’université,​ pour évaluer l’impact des données de recherche déposées dans l’AO…
  
-- Open Access for data : increasing citations 
-RDM : très souvent une demande qui vient de l’extérieur,​ pas des chercheurs. Quel est l’intérêt pour le chercheur ? Un des arguments serait de démontrer que le partage des données fait augmenter les citations, comme l’open access pour les publications. ​ 
  
-Exemple de l’astrophysique. Longue tradition d’open access pour les données, masse de données disponibles,​ masses de MD bibliographiques,​ existence de MD struturées et de haute qualité ​=> possible d’étudier.  +===== CRIS/Open Scholarship =====
-Pour la recherche des publications : utilisation de la BDD bibliographique de la NASA, qui pertmet de ne sélectionner que les articles qui ont un lien vers un jeu de données. Utilisation aussi d’INSPEC. Analyse des citations pour les articles avec liens vers jeux de données, et pour articles sans. Les articles avec liens : sont une minorité, mais ont plus de citations : avantage de citations, pour toutes les revues testées. Montre que les articles théoriques avec liens sont les plus cités.  +
-Conclusions : tendance à la hausse du partage des données ; avantage de citations démontré pour cette discipline. Soutenir les chercheurs et les inciter à partager ! +
  
-- CRIS/Open Scholarship +Pour les institutions UK, nécessité d’avoir ​une information ​structurées pour les procédures d’évaluation de la recherche (REF) ⇒ utilisation du CRIS. La BU effectue ​le nettoyage des données sur la production de recherche qui sont soumises au REF. Le REF exige désormais une étude d’impact de la recherche
-Pour les institutions UK, nécessité d’avoir ​info structurées pour les procédures d’évaluation de la recherche (REF) => CRIS. La BU effectue nettoyage des données sur la production de recherche qui sont soumises au REF. REF exige désormais une étude d’impact de la recherche+
  
-L’institution ​abesoin ​d’établir une stratégie de recherche, d’exploiter les résultats de l’évaluation de sa recherche, d’étudier son impact, de faire du benchmarking,​ de lever des fonds pour la recherche+L’institution ​a besoin ​d’établir une stratégie de recherche, d’exploiter les résultats de l’évaluation de sa recherche, d’étudier son impact, de faire du benchmarking,​ de lever des fonds pour la recherche.
  
-Univ St Andrews : partenariat ​Dir Recherche/​BU pour la mise en place du CRIS. Utilisation de PURE (Elsevier)+University of St Andrews : partenariat ​Direction de la Recherche/​BU pour la mise en place du CRIS. Utilisation de PURE (Elsevier)
 + 
 +Ce qui entre dans le CRIS :\\ 
 +  * référentiels personnels et structures\\ 
 +  * projets, bourses…\\ 
 +  * publications (moissonnage WoS, PubMed… ; alimentation manuelle ; import BibTex…)\\ 
 +  * activités de recherche\\ 
 +  * impact (indicateurs…)\\ 
 + 
 +Lien avec AO pour full text des publications et les données qui sont dans l’AO
  
-Ce qui entre dans le CRIS : rédérentiels personnels et structures, projets, bourses…, publicattions (moissonnage Wos, PubMed… ; alimentation manuelle ; import BibTex…), activités de recherche ; impact (indicateurs…) 
-Lien avec AO pour full text des publis et les données qui sont dans l’AO 
 Format CERIF (EuroCRIS) Format CERIF (EuroCRIS)
 +
 Interopérabilité ! Interopérabilité !
  
-Objectif : simplifier la vie du chercheur pour qu’il n’ait plus à s’occuper ​compliance, d’véluation, de travail administratif. Utiliser un seul système et réutiliser les informations. ​ +Objectif : simplifier la vie du chercheur pour qu’il n’ait plus à s’occuper ​de compliance, d’évaluation, de travail administratif. Utiliser un seul système et réutiliser les informations. ​
- Discovery,​ reuse and impact. Partnership in the research process. Permet d’avoir un moyen d’entrer en contat avec les chercheurs et de leur démontrer intérêt +
-Travail collaboratif. S’adapter aux besoins et pratiques existantes des chercheurs. Simplifier les processus. => permet d’augmenter le nb de dépôts et de full text (passage de 44 à 60% de full text) +
-Elaboration de workflow de dépôt avec les labos. Quand article accepté, l’auteur en informe son labo et envoie le manuscrit accepté. Le labo crée la notice dans PURE, puis validation par la BU.  +
-Conférence EUROCRIS 2016 à St Andrews (15-17 juin) +
-- Registry of Research data repositories : re3data.org (KIT) +
-Les chercheurs doivent deposer leurs données dans un entrepôt => lequel ?  +
-Science : reproduire les expériences et les réusltats, et confiance dans les résultats => besoin d’open data+
  
-Re3data : global registry of research ​data repositoriesCouvre toutes les disciplinesAide les chercheursles bibs… à trouver un entretpôtPromotion de lopen dta pour les données ​de recherche.  +<note tip>​Discovery,​ reuse and impact. Partnership in the research ​process.</​note>​ 
-Début projet 2012. Version 2.2Projet avec Purdue Univ, GFZ, Hulmboldt, ​KIT+  
 +Travail collaboratifS’adapter aux besoins et pratiques existantes des chercheurs. Simplifier ​les processusPermet daugmenter le nombre ​de dépôts et de full text (passage de 44 à 60% de full text)
 +  
 +===== Registry of Research data repositories : re3data.org (KIT) =====
  
-Infos fournies : l’entrepôt ​donne infos sur : politiquedifférents niveaux d’accès (retreint/​open…),​ conditions d’utilisation des données ​et licencescertification,​ identifiants pérennes… +Les chercheurs doivent déposer leurs données dans un entrepôt ​⇒ lequel ?  
-Contrôle qualité des entrepôts : porté par une institution pérenne ​et juridique (ex : université),​ infos claires sur les conditions ​d’accès et les conditions d’utilisation,​ concentré sur les données+La sciencec'est pouvoir reproduire les expériences ​et les résultats, et avoir confiance dans les résultats ⇒besoin ​d’open data
  
-Typologie ​institutionnelledisciplinairemultidisciplinaireprojet+Re3data ​Répertoire d'​entrepôts de données de la recherche. Couvre toutes les disciplines. Aide les chercheursles bibliothécaires… à trouver un entrepôt. Promotion de l’open data pour les données de recherche.\\ 
 +Début du projet en 2012. Version 2.2. Projet avec Purdue UniversityGFZHumboldt Universität,​ KIT Karlsruhe.
  
-Les entrepôts qui adoptent le plus les bonnes pratiques ​(identifiants pérennes, certification…) sont en SHS ! +L'​entrepôt doit donner des informations sur :\\ 
 +  * sa politique\\ 
 +  * les différents niveaux d’accès ​(retreint/​open…)\\ 
 +  * les conditions d’utilisation des données et les licences\\ 
 +  * son éventuelle certification\\ 
 +  * l'​utilisation d'identifiants pérennes…\\ 
 +  * l'​entrepôt doit être porté par une institution pérenne et juridique (ex : université)
  
-Re3data est inclus dans les guidelines de H2020, dans celles de Nature… Possible d’intégrer re3data dans la politique de son isntitution ​les données doivent être déposées dans un entrepôt figurant dans re3data. ​+Typologie des entrepôts ​institutionnelle,​ disciplinaire,​ multidisciplinaire,​ projet
  
-Coopération DataCiteOpenAire, DINI, BioSharing, RDA. Groupe de travail avec DataCite. Financement de la maintenance tehnique par Datacite à partir de 2016. Les développements futurs seront pilotés par DataCite. ​+Les entrepôts qui adoptent le plus les bonnes pratiques (identifiants pérennescertification…) sont en SHS ! 
  
-Technique : restful APIopensearch, documentation en ligne, open MD, engagement du KIT pour un hébergement sur le long terme. MD licence CC 0. +Re3data est inclus dans les //​guidelines//​ de H2020dans celles de //​Nature//​… ​
  
-- BwFDM :  +Il est possible ​d’intégrer rR3data dans la politique "​données de la recherche"​ de son institution,​ en disant que les données doivent être déposées dans un entrepôt figurant dans re3data. ​
-Volonté ​d’avoir un research data support efficace+
  
-Fiinancement ministère enseignemùent sup BW. Financement 2014-juin 2015. 1 M€. 9 ETPun dans chaque univ partenaireet un coordinateurChefs de projets : computing centers, associées aux BU+Coopération avec DataCiteOpenAireDINI, BioSharing, RDAGroupe ​de travail avec DataCite. Financement de la maintenance technique par Datacite à partir de 2016. Les développements futurs seront pilotés par DataCite. ​
  
-De quelles infrastructures et services avons-nous besoin pour fare de la région un leader dans ce domaine ?  +Technique ​restful APIopensearchdocumentation en lignemétadonnées ouvertesengagement du KIT pour un hébergement sur le long termeMétadonnées sous licence CC-0
-Travail avec les chercheurs ​enquête de besoinsaméliorations par rapport à situation actuelle. 700 entretiens avec des chercheurs : comment travaillez-vous ? Quels sont les problèmes ? Quels sont vos besoins ? 2550 « user stories » ont été extraites des entretiens.  +
-NB : les questions sur les données ressemblent à celles de notre enquête.  +
- Présentation des réultsta et des recommandations au ministre le 07/07 +
-Résultats :  +
-*besoibn d’un cadre politique général : questions juridiques (propriété intellectuelleprotection des donnéescopyright. => pouvoir conseiller les chercheurs (avoir un centre d’infos pour les chercheurs) ; avoir une infrastructure technique qui prmet de répondre au besoins de protection (quand on partageet quand on artchive) +
-* majorité des chercheurs n’ont pas assez d’infos sur RDM : besoin d’infos (personne ressource, site web, tutoriels, formations, guidelines, cours…) +
-*problème culturel : majorité des chercheurs ont des données, sont intéressés par données des autrs, mais ne partagent pas les leurs => incitations au partage +
-*cadre technique : standards et formats (quels logiciels ? Quels types de fichiers ? Quels formats d(échange ?) +
-*collecte des données : accès aux données commerciales ? aux données gouvernanementales ? Comment y accéder ? Numérisation ? Moyens d’échanges actuels insatisfaisants (échanges interpersonnels : email, clé USB, dropbox) +
-*infrastructure informatique : stockage (sauvegarde plus de dix ans), besoin de calcul haute performance,​ moyens financers ​pour hardware, accéder à des logiciels spécifiques,​ soutien de la part des informaticiens +
-*conservation : documenter les proejts et les données (DMP, avec soutien pour RDM et pour curation, avoir un outil pour stocker et partager la doc), métadonnées,​ entrepôts (avec différents droits d’accès, avec visualisation des données, avec moteurs de recherche) +
-* autres : plus de moyens financiers, open source, confiance (garantie qualité), pas de bureaucratie,​ gagner du temps +
-=>  dimension politique : permet prise de conscience au ministère. Pour le chercheur : combler le fossé entre les chercheurz et l’infrastructurePour les universités : projet piloté par les informaticiens,​ mais les questions soulevées et les besoins exprimés ne sont pas forcément techniques => faire travailler ensemble différenty partenaires +
-- OA in the Humanities  +
-Meve.io/oahums+
  
-Publication ​chez éditeur ​rapporte quelque chose de symbolique au chercheur, et ce symbolique se transforme en avantages matériels en terme de carrière+===== BwFDM ===== 
 + 
 +Gestion des données de la recherche dans le Bade-Wurtemberg. 
 +  
 +Volonté d’avoir un //research data support// efficace. 
 + 
 +Projet financé par le ministère de l'​enseignement supérieur du Bade-Wurtemberg. Financement 2014-juin 2015. 1 M€. 9 ETP, un dans chaque université partenaire, et un coordinateur. Chefs de projets : centres de calculs des universités,​ associés aux BU. 
 + 
 +De quelles infrastructures et services avons-nous besoin pour faire de la région un leader dans ce domaine ?\\  
 +Travail avec les chercheurs : réalisation d'une enquête de besoins pour définir les améliorations à apporter par rapport à la situation actuelle.\\ 
 +700 entretiens avec des chercheurs :\\ 
 +  * comment travaillez-vous ?\\ 
 +  * Quels sont les problèmes ?\\ 
 +  * Quels sont vos besoins ?\\ 
 +2550 //user stories// ont été extraites des entretiens.  
 +  
 +Présentation des résultats et des recommandations au ministre en juillet 2015. 
 + 
 +Résultats :\\ 
 +  * besoin d’un cadre politique général : questions juridiques (propriété intellectuelle,​ protection des données, copyright ⇒ pouvoir conseiller les chercheurs (avoir un centre d’informations pour les chercheurs) ; avoir une infrastructure technique qui permet de répondre au besoins de protection (quand on partage, et quand on archive)\\ 
 +  * la majorité des chercheurs n'a pas assez d’informations sur la gestion des données de la recherche : besoin d’informations (personne ressource, site web, tutoriels, formations, //​guidelines//,​ cours…)\\ 
 +  * problème culturel : la majorité des chercheurs a des données, est intéressée par les données des autres, mais ne partage pas ses propres données ⇒ comment inciter au partage ?\\ 
 +  * cadre technique : standards et formats (quels logiciels ? Quels types de fichiers ? Quels formats d'​échange ?)\\ 
 +  * collecte des données : accès aux données commerciales ? aux données gouvernementales ? Comment y accéder ? Numérisation ? Les moyens d’échanges actuels sont insatisfaisants (échanges interpersonnels : email, clé USB, dropbox)\\ 
 +  * infrastructure informatique : stockage (sauvegarde sur plus de dix ans), besoin de calcul haute performance,​ moyens financiers pour du //​hardware//,​ accéder à des logiciels spécifiques,​ soutien de la part des informaticiens\\ 
 +  * conservation : documenter les projets et les données (aider les chercheurs à rédiger leur DMP, en les soutenant pour la gestion de leurs données et pour leur curation, avoir un outil pour stocker et partager la documentation),​ métadonnées,​ entrepôts (avec différents droits d’accès, avec visualisation des données, avec moteurs de recherche)\\ 
 +  * autres : plus de moyens financiers, open source, confiance (garantie qualité), pas de bureaucratie,​ gagner du temps\\ 
 + 
 +<note tip>Pour le chercheur : combler le fossé entre les chercheurs et l’infrastructure. Pour les universités : se rendre compte que les questions soulevées et les besoins exprimés ne sont pas forcément techniques ⇒ faire travailler ensemble différents partenaires</​note>​ 
 + 
 +===== Open Access in the Humanities ===== 
 +  
 +La publication ​chez un éditeur rapporte quelque chose de symbolique au chercheur, et ce symbolique se transforme en avantages matériels en terme de carrière.
  
 SHS : modèle économique de l’édition est un peu différent ; les coûts des APC sont plus faibles. Eparpillement des coûts. Pour l’instant,​ les coûts sont supportables. ​ SHS : modèle économique de l’édition est un peu différent ; les coûts des APC sont plus faibles. Eparpillement des coûts. Pour l’instant,​ les coûts sont supportables. ​
  
-Monographies : marché difficile à pénétrer par des nouveauxplateformes d’édition open source en sont à leurs balbutiements, pb de reconnaissance symbolique ​; pb de modèle économique car les ventes ne se font pas que dans le monde académique+Monographies :\\  
 +  * marché difficile à pénétrer par de nouveaux ​acteurs\\ 
 +  * les plateformes d’édition open source en sont à leurs balbutiements\\ 
 +  * problème ​de reconnaissance symbolique\\ 
 +  * problème ​de modèle économique car les ventes ne se font pas que dans le monde académique
  
-Solution ​: Open Library of Humanities. Megajournal. ​MOdèle ​économique ​similaire à Knwoledge ​Unlatched. Les BU sont partenaires : participent à la gouvernance,​ et financent. ​+Une solution ​modèle d'Open Library of Humanities. Megajournal. ​Le modèle ​économique ​est similaire à Knowledge ​Unlatched. Les BU sont partenaires : elles participent à la gouvernance,​ et financent ​la publication
  
-- Conservation des digital enhanced publications (bib nationale NL) +===== Conservation des digital enhanced publications (bibliothèque royale Pays-Bas=====
-2008 : Natherlands coalitation for digital preservation +
-Partage d’expérience et projets poratiques communs+
  
-2914 début du travail avec les enhanced publications en 2014Article dans Liber quarterly en 2014+2008 Netherlands coalitation for digital preservation\\ 
 +Partage d’expérience et projets pratiques communs.
  
-1ère étape : qu’est-ce-que les institutions partenaires considèrent comme une enhanced ​publications ​?  +2014 : début du travail avec les //enhanced publications//​. Article dans //Liber quarterly// en 2014 
-Question : qui conserve quoi, et quelles sont les relations entre les différentes ​parts ?  + 
-Deux types de contenus : le contenu ajouté par l’auteur, le contenu ajouté par celui qui détient le contenu+1ère étape : qu’est-ce-que les institutions partenaires considèrent comme une //enhanced ​publication// ​?  
 + 
 +Qui conserve quoi, et quelles sont les relations entre les différentes ​parties ​?\\  
 +Deux types de contenus : le contenu ajouté par l’auteur, le contenu ajouté par celui qui détient le contenu
 + 
 +Etude de cas avec les thèses de doctorat. Les docteurs sont obligés de déposer un exemplaire électronique,​ mais rien n’est organisé pour les données liées, il n'y a pas de règles pour les identifiants pérennes et les métadonnées. Où conserver les données liées ?\\  
 +Les thèses sont déposées dans l’AO de l’institution,​ les métadonnées sont envoyées dans NARCIS. La bibliothèque royale moissonne DANS pour les MD et récupère le fichier de l’AO ⇒ l'​archivage pérenne de la publication est assuré. Quid des données ? Le docteur peut faire appel aux datacenters 3TU ou DANS, mais comment se fait le lien avec le fichier de la thèse, et avec DANS ? Pas de lien ! 
 + 
 +Objectifs :\\ 
 +  * Rendre l’utilisation des identifiants pérennes obligatoires pour le fichier et pour les données. Les ajouter comme métadonnées dans le //flow// de NARCIS, rendre les données disponibles via NARCIS, et permettre à NARCIS de visualiser les données.\\  
 +  * Universités : doivent mettre à jour leurs politiques concernant les thèses, et faire évoluer NARCIS (déjà une nouvelle catégorie dans NARCIS : //enhanced publications//​)\\ 
 +  * Créer une infrastructure pour l’usage des identifiants pérennes. Problème : tous les partenaires n’utilisent pas les mêmes identifiants\\ 
 +  * Savoir qui collecte quoi et qui conserve quoi 
 + 
 +===== Research Data Services Queen’s university ===== 
 + 
 +Politique OA des agences de financement fédérales au Canada : les publications doivent être en OA vert ou gold 
 +Elaboration en cours d’une politique sur les données. 
 + 
 +//Queen’s university//​ : publication du //strategic agenda//. Pour l’élaborer : état des lieux des besoins, entretiens avec des chercheurs et avec des fournisseurs de services (centres de calcul...)\\ 
 +Stipule que les services informatiques et la BU travaillent ensemble à la mise en place d’une infrastructure distribuée pour les données. 
 + 
 +Projet PORTAGE : création d’un réseau d’experts en gestion des données à travers le pays + création d’un outil de recherche. Création d’un outil de création de DMP national, générique,​ et bilingue (avec DMPonline) (en cours de tests. Prêt en septembre 2015).  
 + 
 +Faire en sorte que l’organisation soit transparente pour le chercheur : le chercheur s’en fiche de savoir si c’est la BU, le services informatique... qui lui rend service. 
 + 
 +Les services de gestion des données sont organisés autour de 4 grandes fonctions :\\ 
 +  * planifier la gestion de vos données\\ 
 +  * préparer vos données (format, anonymisation…)\\ 
 +  * documenter vos données (description des données afin que d’autres puissent les réutiliser)\\ 
 +  * archiver vos données  
 + 
 +Gouvernance : //research community comitee// pour le pilotage + 2 groupes de travail avec des membres de toute l’université (//research data working group// ; //scholarly communications working group//). 
 +  
 +Organisation d’un //data day// annuel : info pour les chercheurs, promotion de l’OA pour les données, ateliers pratiques (visualisation,​ sécurité, écriture d’un DMP)
  
-Etude de cas avec les thèses de doctorat. Les docteurs sont obligés de déposer un exemplaire électronique,​ mais rien n’st organisé ​pour les données liées, par de règles pour les identifiants pérennes et les métadonnées,​ où conserver les données liées ?  +Travail ​pour inclure ​la gestion ​des données ​dans la charte déthique ​de la recherche.
-Les thèses sont déposées dans l’AO de l’institution,​ les métadonnées sont envoyées dans NARCIS. La KB moissonne DANS pour les MD et rcupère le fichier de l’AO => archivage pérenne de la publication assuré. Quid des données ​? Le docteur peut faire appel aux datacdnters 3TU ou DANS, mais comment se fait le lien avec le fichier de la thèse, et avec DANS ? Pas de lien.  +
- Rendre lutilisation des identifiants pérennes obligatoires pour le fichier et pour les données. Les ajouter comme MD dans le flow de NARCIS, rendre les données disponibles via NARCIS, et permettre à NARCIS de visualiser les données +
- Univ : doivent mettre à jour leurspolitiques concernant les thèses, et faire évoluer NARCIS (déjà une nouvelle catégorie dans NARCIS : enhanced publications) +
- Créer une infrastructure pour l’usage des identifiants pérennes : pb : tous les partenaires n’utilisent pas les mêmes identifiants +
- Savoir qui collecte quoi et qui conserve quoi+
  
-- Research Data Services Queen’s univ +Réorganisation ​de la BU autour des disciplines avec renforcement des //liaisons librarians//​ disciplinaires + services transversaux ⇒ collaboration pour la gestion des données ​entre le service transversal et les bibliothèques disciplinaires. ​
-Politique OA des agences ​de financement fédéral au Canada : les publications doivent être en OA ver t ou gold +
-Elaboration en cours d’une politique sur les données+
  
-Queen’s univ : publication du strategic agenda. Pour l’élaborer : état des lieux des besoins, entretiens avec chercheurs et avec fournisseurs de service (HPC…) 
- Stipule que IT et BU travaillent ennsemble à la mise en place d’une infrastructure distribuée pour les données 
-Projet PORTAGE : création d’un réseau d’experts en RDM à travers le pays + création d’un outils de recherche. Création d’un outil de création de DMP nationale, générique,​ et bilinque (avec DMPonline) (en cours de tests. Prêt en septembre). ​ 
-Faire en sorte que l’organisation soit transparente pour le chercheur : le chercheur s’en fiche de savoir si c’est la BU, IT… qui lui rend service 
-Services RDM organisés autour de 4 grandes fonctions : planning for RDM, preparing your data (format, anonymisation…),​ documenting your data (description des données afin que d’autres puissent les réutiliser),​ archiving your data 
-Gouvernance : research community comitee pour le pilotage+ 2 groupes de travail avec membres de toute l’université (research data working group ; scholarly communications working group). ​ 
-Organisation d’un « data day » annuel : info pour les chercheurs, promotion de l’OA pour les données, ateliers pratiques (visualisation,​ sécurité, écriture d’un DMP) 
-Travail en commun sur les indicateurs d’impact 
-Travail pour inclure RDM dans charte d’éthique de la recherche 
-Réorganisation de la BU autour des disciplines avec renforcement des « liaisons librarians » disciplinaires + services transversaux => collaboration pour RDM entre le srvice transervsal et les bibs disciplinaires : les bibs disciplinaires sont toujours associés. ​ 
 - Transparency in open science - Transparency in open science
 Les data librarians sont des « transparency agents » : promotion d’un changement de culture, induit par l’open science. Les RH sont aussi importantes que l’infrastructure technique. ​ Les data librarians sont des « transparency agents » : promotion d’un changement de culture, induit par l’open science. Les RH sont aussi importantes que l’infrastructure technique. ​
aoc/congres-liber-24062015.1455729176.txt.gz · Dernière modification: 2016/02/17 18:12 par Adeline Rege