Les Observations sur le sentiment du beau et du subtile de 1796 est une traduction de l'allemand en français du vivant de Kant par Jean-Marie Hercule Peyer-Imhoff (1772-1813).

Jean-Marie Hercule Peyer-Imhoff, né à Sélestat d'une famille d'origine suisse établie en Alsace, a embrassé la carrière d'officier ce qui l'a amené à beaucoup se déplacer ; il a temporairement séjourné à Kientzheim puis à Colmar avant de trouver la mort sur le retour de la campagne de Russie sous l'Empire. Il a consacré ses loisirs à traduire une partie des oeuvres de Kant en français. Il est le père de Marie Hercule Jean-Baptiste de Peyerimhoff (1809-1890), grand maire bâtisseur de Colmar entre 1855 et 1877, ayant ajouté la particule à son nom de famille. Il est à noter que l'habitude a été prise d'adjoindre à toute la lignée le prénom d'Hercule, du nom d'un ermite de la région de Morlaix, depuis le mariage de Charles Antoine (1740-1807), le père du traducteur, avec une noble bretonne.

Des notices biographiques détaillées sont consultables dans le Nouveau dictionnaire de biographie alsacienne.

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• Metaphysische Anfangsgründe der Rechtslehre, (1798)
• Observations sur le sentiment du beau et du sublime, (1796)

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